Takfarinas: est un chanteur kabyle né en 1958. Il est né à Tiksraine, a la wilaya de tizi ouzou en Algérie, dans la banlieue d'Alger. Il vit en France depuis 1979. Ses textes rendent hommage à la culture kabyle, mais s’en échappent quelquefois pour aller vers des appels engagés qui constituent sa signature. Le style nouveau dans lequel il s'investi s’appelle le yal. Il parvient a populariser la musique kabyle méconnue du grand public en Europe.
Issu de la quatrième génération d'une famille de musiciens, il grandit dans son village natal Tiksraine dans la proche banlieue d'Alger. Déjà vers l'âge de six ans, il improvise la fabrication d'une quitare avec un bidon d'huile de moteur de voiture et des câbles en métal de freins de vélo. Très tôt le jeune Takfarinas s'intéresse aux artistes de Chaâbi comme M'Hamed El Anka, Cheikh El Hasnaoui (le "chantre de l'amour"), Slimen Azem . Takfarinas possède une voix timbrée au registre large et impose une création et un style musicale très personnel à plusieurs facettes. L'instrumentation préférée de Takfarinas est d'accompagner ses chanson par une mandole électrique qui permet des sonorités à deux genres: mâle et femelle, caractérisée par la musique berbère.
En 1976, il enregistre sa première bande à Alger, mais renforcera son image de chanteur en France, en 1979, en enregistrant son premier album. En 1981, il forme le groupe Agraw avec Boujema Semaouni qui durera quelques années. Il sort Wa i telha et Arrach, en 1986, qui se vend à un million de copies. En 1989, la sortie de "Irgazen et mi d ih", un double CD, lui fait reconnaître une renommée de la scène internationale. Il sort en 1994, un autre album intitulé "yebb’a rremman" bien classé au World Music Europ Charts. Mais c'est avec son album "Zaâma Zaâma" qu'il obtient un son plus grand succès.
Takfarinas réoriente son style avec l'album "paix et salut", en hommage aux artistes algériens victimes de la répression. En 2004, ce sera un album intitulé "Honneur aux dames", où Takfarinas exprime une révolte face à l'oppression des femmes algériennes
Issu de la quatrième génération d'une famille de musiciens, il grandit dans son village natal Tiksraine dans la proche banlieue d'Alger. Déjà vers l'âge de six ans, il improvise la fabrication d'une quitare avec un bidon d'huile de moteur de voiture et des câbles en métal de freins de vélo. Très tôt le jeune Takfarinas s'intéresse aux artistes de Chaâbi comme M'Hamed El Anka, Cheikh El Hasnaoui (le "chantre de l'amour"), Slimen Azem . Takfarinas possède une voix timbrée au registre large et impose une création et un style musicale très personnel à plusieurs facettes. L'instrumentation préférée de Takfarinas est d'accompagner ses chanson par une mandole électrique qui permet des sonorités à deux genres: mâle et femelle, caractérisée par la musique berbère.
En 1976, il enregistre sa première bande à Alger, mais renforcera son image de chanteur en France, en 1979, en enregistrant son premier album. En 1981, il forme le groupe Agraw avec Boujema Semaouni qui durera quelques années. Il sort Wa i telha et Arrach, en 1986, qui se vend à un million de copies. En 1989, la sortie de "Irgazen et mi d ih", un double CD, lui fait reconnaître une renommée de la scène internationale. Il sort en 1994, un autre album intitulé "yebb’a rremman" bien classé au World Music Europ Charts. Mais c'est avec son album "Zaâma Zaâma" qu'il obtient un son plus grand succès.
Takfarinas réoriente son style avec l'album "paix et salut", en hommage aux artistes algériens victimes de la répression. En 2004, ce sera un album intitulé "Honneur aux dames", où Takfarinas exprime une révolte face à l'oppression des femmes algériennes
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire