La Casbah d'Alger appelée « la Casbah » (القصبة en arabe) (sans mentionner la ville) est la partie de la ville comprenant aujourd’hui la vieille ville d’Alger.
Même si d’autres villes ont aussi une Casbah, seule celle d’Alger sera appelée sans mentionner le nom de la ville elle-même, ainsi pour Constantine, on dira : Casbah de Constantine.
La Casbah proprement dite est une forteresse bâtie à Alger au XVIe siècle, à l’époque ottomane. Entre cette forteresse et le front de mer et sur un site accidenté se sont développé des habitations majoritairement à étages devenu plus tard la vieille ville algerie qu’on a appelé aussi bien plus tard Casbah par extension .
Les caractéristiques les plus marquantes de la Casbah qui lui donnent tout son charme, sont le terrain lui même qui est accidenté et en pente (118 mètres de dénivellation), les rues tortueuses qui nous renvoient dans un Alger mystérieux et magique d’un autre temps et l’architecture extérieure et intérieure des maisons, ces dernières étant caractérisées par une cour intérieure carrée avec une petite fontaine, autour de laquelle est organisée toute l’habitation. La pente est tellement raide dans la partie haute de la Casbah que la plupart des ruelles sont en escaliers. Les experts admirent le prodige architectural qu'offre le spectacle de maisons enchevêtrées sur un plan très incliné, s'appuyant les unes contre les autres depuis des siècles.
Noyau originel qui valut à la cité mauresque d'El-Djazaïr le surnom d'Alger-la-Blanche, la Casbah est en danger de mort. De la mer, ou du haut de ses terrasses, la vieille médina fait encore son effet. Mais lorsqu'on vagabonde dans le labyrinthe de ses ruelles, le délabrement apparaît criard, poignant. Quand une maison s'écroule, celles qui lui sont proches, par un effet de château de cartes, sont menacées de ruine.
Les premières études pour sauvegarder la vieille ville datent des années 70, plusieurs plans d’aménagement, d’urbanisme, de rénovation et de mise en valeur ont été mis en place depuis.
La Casbah est classée, depuis décembre 1992, patrimoine mondial par l’UNESCO.
Les caractéristiques les plus marquantes de la Casbah qui lui donnent tout son charme, sont le terrain lui même qui est accidenté et en pente (118 mètres de dénivellation), les rues tortueuses qui nous renvoient dans un Alger mystérieux et magique d’un autre temps et l’architecture extérieure et intérieure des maisons, ces dernières étant caractérisées par une cour intérieure carrée avec une petite fontaine, autour de laquelle est organisée toute l’habitation. La pente est tellement raide dans la partie haute de la Casbah que la plupart des ruelles sont en escaliers. Les experts admirent le prodige architectural qu'offre le spectacle de maisons enchevêtrées sur un plan très incliné, s'appuyant les unes contre les autres depuis des siècles.
Noyau originel qui valut à la cité mauresque d'El-Djazaïr le surnom d'Alger-la-Blanche, la Casbah est en danger de mort. De la mer, ou du haut de ses terrasses, la vieille médina fait encore son effet. Mais lorsqu'on vagabonde dans le labyrinthe de ses ruelles, le délabrement apparaît criard, poignant. Quand une maison s'écroule, celles qui lui sont proches, par un effet de château de cartes, sont menacées de ruine.
Les premières études pour sauvegarder la vieille ville datent des années 70, plusieurs plans d’aménagement, d’urbanisme, de rénovation et de mise en valeur ont été mis en place depuis.
La Casbah est classée, depuis décembre 1992, patrimoine mondial par l’UNESCO.
A Alger, ville moderne, les cérémonies familiales n'ont plus le faste traditionnel d'antan. Mais, dans la Casbah (vieille ville), la coutume est toujours respectée. Les mariages, en particulier, y sont célébrés à l'ancienne manière et donnent lieu à des festivités auxquelles tout le quartier participe.
Dans la Casbah, palais et mosquées foisonnaient mais les démolitions de l'époque coloniale en firent disparaître la majeure partie.
Lorsqu'une maison s'écroule, les autres sont menaçées de ruines mais les occupants mettent des années à quitter leurs demeures devenues dangereuses et à accepter d'être relogés. Les habitants de la Casbah dont la maison s'écroule sont relogés dans des ensembles à 20 km du centre d'Alger. Mal préparés à ce genre d'habitat et craignant surtout l'éloignement, beaucoup refusent de s'en aller ou retournent clandestinement au quartier familier. Dans les maisons ouvertes au ciel, il ne reste que des familles de condition très modeste.
Derrière des murs lépreux et des portails toujours fermés, des joyaux d'architecture mauresque périssent lentement, faute d'entretien.
La partie basse de la Casbah, proche de la mer et du port d'Alger, avait été, à l'époque de la splendeur de la cité, un important quartier commercial. Il n'en reste guère de traces si ce n'est un marché aux puces dans une ancienne rue commerçante
Dans la Casbah, palais et mosquées foisonnaient mais les démolitions de l'époque coloniale en firent disparaître la majeure partie.
Lorsqu'une maison s'écroule, les autres sont menaçées de ruines mais les occupants mettent des années à quitter leurs demeures devenues dangereuses et à accepter d'être relogés. Les habitants de la Casbah dont la maison s'écroule sont relogés dans des ensembles à 20 km du centre d'Alger. Mal préparés à ce genre d'habitat et craignant surtout l'éloignement, beaucoup refusent de s'en aller ou retournent clandestinement au quartier familier. Dans les maisons ouvertes au ciel, il ne reste que des familles de condition très modeste.
Derrière des murs lépreux et des portails toujours fermés, des joyaux d'architecture mauresque périssent lentement, faute d'entretien.
La partie basse de la Casbah, proche de la mer et du port d'Alger, avait été, à l'époque de la splendeur de la cité, un important quartier commercial. Il n'en reste guère de traces si ce n'est un marché aux puces dans une ancienne rue commerçante
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